Les senteurs de votes-sanctions contre le régime Pastef, sont à prévoir au soir du 17 novembre 2024. Des agitateurs et manipulateurs ont été investis, alors que dans l’exactitude des faits politiques, les seules évocations de leurs noms provoquent mépris et dédain. Ce qui est certain est que quelques soient les résultats des Législatives, de grandes surprises auront lieu.
Détenteur du Pouvoir et de l’Avoir, Sonko s’est érigé en Bonaparte de Pastef et Napoléon de la coalition Diomaye. Les surprises, les déceptions et les trahisons, ont été alors nombreuses. Le Chef de la Primature lui-même, a tracé la physionomie de ce qui devrait être le Législatif, dans l’hypothèse d’ailleurs très peu probable où son camp sortirait vainqueur.
Arbitrairement et non arbitralement ! La raison ? Outre la manipulation et les mensonges du leader de Pastef, la nouvelle redevance sur l’électricité instaurée par l’État sénégalais, le report des décaissements du FMI, 8 000 emplois du BTP perdus à cause de Sonko, qui a bloqué tous les chantiers privés et étatiques et par ricochet, les cimentiers qui risquent de mettre la clé sous le paillasson, un vote-sanction serait simplement une question de dignité.
En politique, l’honneur n’abdique pas, le duo Diomaye-Sonko a, à son actif, plus de revers que de performances. Une spirale de forfaitures et de promesses non tenues, sur fond de gouvernance manipulatrice, est fortement décriée contre le régime.
Il ne faut pas voter Pastef et Sonko en raison : de la baisse des activités portuaires, des thiak thiak qui souffrent, d’un Fadilou Keïta, un DG va-t-en guerre, DG qui joue les gardes du corps, au lieu d’aller gérer la CDC, Waly Diouf Bodian qui passe son temps à faire des publications haineuses, au lieu de se concentrer à faire redémarrer les activités du port, qui sont en baisse depuis 8 mois, El Malick Ndiaye, le Ministre ACCIDENTOGÈNE, le plus nul de l’histoire, humilié à Daara.
C’est dire que toute la gouvernance du nouveau régime, piloté par des incapables, n’est en réalité bâtie que sur le socle du populisme et du reniement. Oui, le reniement est presque érigé en mode de gouvernance et les VAR qui confondent Ousmane Sonko, se comptent à la pelle et sont même devenues de la matière à divertissement pour les jeunes, à travers les réseaux sociaux.
Aujourd’hui, c’est un truisme de dire que rien ne va dans ce pays et ce sinistre cliché cache mal une honteuse volonté manifeste de porter des accusations fallacieuses contre d’honnêtes citoyens, qui se sont sacrifiés pour l’émergence de ce pays et pour la vitalité de sa démocratie.
Les étudiants sont aujourd’hui anxieux, face à un avenir incertain, faute de mise en œuvre d’une politique universitaire claire.
Les enseignants, les marchands ambulants, bref toutes les catégories sociales sont dans la désillusion et foudroyées par la cherté de la vie, avec une hausse exponentielle des prix des denrées de première nécessité, de l’électricité, etc.
Délation, médisance, dénigrement, souillure, méchanceté et sadisme, sont portés par des sycophantes encagoulés, qui poussent le Pastef à poser des actes politiques autodestructeurs. Ce n’est que la face visible de l’Iceberg. L’électorat a amplement gonflé et tous ces arrogants et ces boulimiques sont menacés par un revers électoral, dont le seul responsable sera Ousmane Sonko lui-même !
Le fait de bloquer les exportations d’arachide n’est qu’une mesure populiste, sachant que les récoltes seront mauvaises à cause des mauvaises semences distribuées aux paysans.
Le blocage des exportations aura comme conséquence, plus de rentrée de devises extérieures.
En plus de la baisse des activités portuaires. »
Mouhamadou Lamine Massaly
Président du Parti Union pour une Nouvelle République (UNR)
Vive l’inter-coalition
Takku Wallu Sénégal
Samm sa kaddu
Jamm ak djerign